Le Haut-commissariat au plan (HCP) vient de livrer les dernières tendances sur l’évolution démographique, le mariage, le divorce et le taux de procréation par rapport à 2020, année de la survenue de la crise sanitaire du Covid-19.
De nombreuses arrestations parmi les personnes s’étant rendues sur les plages, au mépris des mesures de l’état d’urgence. La police a reçu pour ordre de faire respecter les règles établies pour la lutte contre le coronavirus et qui restent toujours d’actualité, même si la situation épidémiologique du pays reste encourageante.
Après plusieurs semaines passées en confinement, bien de Marocains ont envie de profiter de l’été pour se balader à la plage. Mais dans le contexte actuel, un tel luxe reste une mission impossible, à moins de violer les mesures restrictives mises en place depuis le 20 mars.
"Les chaleurs enregistrées ces derniers jours dans plusieurs villes du pays, ont poussé un grand nombre de jeunes à prendre d’assaut les plages les plus proches". Et comme cela se fait avec ceux qui ne respectent pas l’état d’urgence sanitaire, "les forces de l’ordre sont intervenues à chaque fois et ont même procédé à l’arrestation de plusieurs personnes".
C’est le cas à la plage d’Essaouira où c’est une vidéo amateur, montrant des "centaines d’estivants nageant sur les plages attenantes à l’ancienne médina". C’est cette vidéo qui a alerté les autorités qui n’ont pas tardé à intervenir pour vider les lieux, avant de placer des barrières et des sentinelles permanentes sur la plage", précise la même source.
Samedi dernier, 14 personnes dont plusieurs femmes, ont été arrêtées sur la plage d’El Harhoura près de Temara ; ce qui porte à "40 le nombre de personnes arrêtées dans cette localité pour baignade et violation du confinement".
Face à la "désobéissance civile" sur les plages, des unités des forces auxiliaires patrouillent en permanence, à cheval, de Bouznika à Salé, en passant par Skhirat, Témara, El Harhoura et Rabat.
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