
La densité des forages réalisés au Maroc a atteint seulement quatre puits pour 10 000 kilomètres carrés, comparativement à la moyenne mondiale de 1 000 puits pour la même superficie. C’est ce que révèle un rapport annuel du Cour des Comptes.
Après la destruction accidentelle (incendie) de la raffinerie de Mohammedia, un projet de construction d’une nouvelle unité de raffinage ultramoderne avait été lancé, fin 2002, à la demande expresse du roi Mohammed VI.
Si le site retenu, le port de Jorf Lasfar, près d’El-Jadida, n’a pas changé, le tour de table financier a, lui, sensiblement évolué. Aux côtés des partenaires pressentis - les distributeurs Total, Afriquia et Shell, ainsi que la Banque commerciale du Maroc -, on évoque désormais la possible venue de l’américain Kellog, du japonais JCG et d’un grand groupe européen qui pourrait être Technip. D’une capacité de production de 8 millions à 10 millions de t, la future raffinerie nécessitera un investissement compris entre 700 millions et 950 millions de dollars.
L’intelligent
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