Sur son compte Twitter, le ministre a rappelé les raisons qui ont prévalu à cette dissolution : « Comme le détaille le décret que j’ai présenté, elle (l’association BarakaCity) incitait à la haine, entretenait des relations au sein de la mouvance islamiste radicale, se complaisait à justifier des actes terroristes. » À ses explications sur Twitter, le ministre a ajouté une copie du « décret portant dissolution d’une association ».
« Considérant que l’ensemble des commentaires engendrés par les messages publiés sur les comptes des réseaux sociaux de l’association BarakaCity constituent par eux-mêmes une provocation à la haine, à la discrimination et à la violence, qu’ils sont toujours accessibles sans que son président, ni aucun membre de l’association ne procède, ni à leur retrait ni même à une quelconque modération des propos ainsi diffusés (…) le conseil des ministres entendu décrète que l’association dénommée Barakacity est dissoute. », C’est en ces termes que le Conseil a prononcé la dissolution de cette association
Selon le document publié par le ministre sur son compte Twitter, l’association mise en cause diffuse des idées haineuses, discriminatoires et violentes « prônant l’islamisme radical et, par l’intermédiaire du compte personnel Twitter de son président ainsi que des comptes Facebook et Twitter de l’association ».