
Saisie par une jeune maman qui cherche à obtenir une indemnisation pour son fils issu d’un viol, la cour de cassation marocaine a rendu une décision qui va faire date.
Quatre hommes soupçonnés d’avoir mis le feu au centre de rétention administrative pour étrangers de Paris-Vincennes dans la nuit de mercredi à jeudi ont été mis en examen samedi pour "dégradation volontaire par incendie".
Agés d’une trentaine et d’une quarantaine d’années, ces cinq individus, dont un Marocain, étaient retenus depuis plusieurs jours dans les deux bâtiments du centre, dont l’un a été gravement endommagé par l’incendie qui n’a pas fait de blessés graves.
Ces articles devraient vous intéresser :