Le royaume serait le premier bénéficiaire politique de la crise du coronavirus, suite à la reconnaissance, par les États-Unis et certains pays de l’Union européenne, de la souveraineté du pays sur le Sahara marocain.
Pour le quotidien espagnol Las Provencias, pas moins de 4 États ont fait part récemment au Maroc de leurs besoins immédiats en produits agricoles, dont notamment les États-Unis, la France, l’Espagne et l’Italie.
Seulement, si la fermeture des frontières terrestres, maritimes et aériennes n’a pas affecté les échanges commerciaux avec l’Europe, elle est susceptible d’empêcher toute opération d’exportation vers les États-Unis et le Canada, a ajouté le journal.