Dans un communiqué relayé par Air Journal, Air France a annoncé que tous ses vols vers et à partir de l’ensemble de ses dessertes au Maroc-Marrakech, Casablanca et Rabat – sont assurés normalement au départ de Paris-CDG, et que les infrastructures aéroportuaires marocaines n’ont pas été touchées par le tremblement de terre survenu dans la nuit du 8 au 9 septembre, à 77 kilomètres au sud-ouest de la ville ocre, première destination touristique marocaine. En mettant en place des mesures commerciales, la compagnie française permet « aux clients en possession d’une réservation pour un voyage de ou vers le Maroc dans les prochains jours de modifier ou reporter leur voyage sans frais », précise la même source, ajoutant qu’Air France entend organiser par ailleurs des vols supplémentaires ou utiliser des avions de plus grande capacité pour renforcer ses liaisons entre la France et le Maroc dans les prochains jours.
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Les compagnies aériennes comme Royal Air Maroc (RAM), Transavia, TUI Air Belgium et Vueling assurent, elles aussi, normalement les vols vers Marrakech au départ de Paris-Orly. De même, RAM et Easyjet continuent d’opérer des vols à destination de la ville ocre au départ de Paris-CDG. Quant aux autres liaisons au départ des villes françaises de province (Bordeaux, Lyon, Nantes, Marseille, Toulouse, etc.), elles sont également assurées selon les programmes de vols prévus.
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De son côté, le Syndicat des Entreprises du Tour Operating (Seto), qui fédère les principaux tour-opérateurs français, demande aux agences de voyage de faire preuve « de souplesse commerciale » pour les clients ne souhaitant plus se rendre au Maroc. « S’il est possible de proposer des reports et/ou des avoirs, les clients sont en droit de les refuser », rappelle-t-il. À Marrakech, « après consultation de l’ensemble des opérateurs programmant la destination, l’ensemble des infrastructures hôtelières et touristiques serait opérationnel ; le trafic aérien de l’aéroport de Marrakech a repris normalement », a indiqué le Seto dans un communiqué. Toutefois, des aménagements d’excursion peuvent, avertit-il, être mis en place selon les situations particulières de certaines zones