
Professeur décapité : les élèves et parents sous le choc
Quelques heures après l’attaque qui a ciblé un professeur d’un collège de Conflans-Sainte-Honorine, dans les Yvelines, les habitants, notamment les élèves et les parents, sont...
La sécurité des établissements scolaires sera renforcée et la "propagande islamiste radicale en ligne" sera surveillée. Ainsi en a décidé, dimanche le président français Emmanuel Macron au lendemain de l’attaque perpétrée contre un professeur d’histoire.
Le président Macron veut passer à l’action. Il n’entend « laisser aucun répit à ceux qui s’organisent pour s’opposer à l’ordre républicain ». Cette décision a été prise au cours d’une réunion en présence de plusieurs ministres et du procureur anti-terroriste Jean-François Ricard.
Pour réussir ce challenge, le chef de l’Etat français a exigé le renforcement de la sécurité des établissements scolaires et de leur environnement pour la rentrée du 2 novembre. A l’en croire, les stratégies doivent être élaborées d’ici deux semaines.
Selon l’Elysée, un plan d’action présenté par les ministres Gérald Darmanin et Eric Dupond-Moretti, sera mis en œuvre dès le courant de la semaine. Par ailleurs, des actions concrètes doivent être prises contre les structures, associations ou personnes proches des milieux radicalisés", auteurs de propagande des appels à la haine pour encourager les attentats.
Les investigations se poursuivent afin d’interpeller les complices de cette attaque terroriste. A ce titre, près d’une centaine de messages de soutiens à l’agresseur ont été interceptés sur la plateforme de signalement Pharos. Les mis en cause ont été convoqués ce lundi. Des domiciles ont également été perquisitionnés.
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