
L’Office national des Chemins de fer (ONCF) s’active pour la réalisation du projet de construction de la ligne ferroviaire à grande vitesse reliant Kénitra à Marrakech. Il vient de débloquer environ 695 millions de dirhams.
Dans l’objectif d’accompagner le développement des infrastructures routières nationales, le Maroc a établi un schéma directeur autoroutier visant la construction de 1.500 kilomètres d’autoroutes à l’horizon 2010.
Constituée d’un actionnariat majoritairement public regroupant
principalement la Trésorerie Générale et le Fonds Hassan II pour le
Développement Economique et Social, l’ADM a la charge de construire,
d’entretenir et d’exploiter le réseau autoroutier national dans le cadre de
contrats concessionnels la liant au concédant, représenté par le ministère de l’équipement et des transports.
En vertu de cet avantage, la société s’engage à construire 1.500 km d’autoroute à l’horizon 2010, dont 784 km ont été déjà réalisés reliant Rabat à Casablanca (62 km), Rabat à Tanger (223 km), Rabat à Fès (167 km), la route périphérique de Casablanca (32 km), Casablanca à El Jadida (81 km) et de Casablanca à Marrakech (219 km).
Quelque 635 km d’autoroutes sont en cours de réalisation reliant Tétouan à Fnideq (28 kilomètres), Tanger au port de Oued Rmel (54 km), Marrakech à Agadir (233 km), et Fès à Oujda (320 km).
Le coût de mise en oeuvre du programme des autoroutes est estimé à 36 milliards de DH, financé à hauteur de 20 pc par les fonds privés de l’ADM recouvrés par le biais de la recapitalisation effectuée par l’Etat et le Fonds Hassan II pour le développement économique et social, tandis que le reste du montant (80 pc) est mobilisé via des empreints concessionnels estimés à 27 milliards 952 millions de DH.
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