Le Maroc pourrait faire face à une grave crise sanitaire et à une augmentation des incidents de violence et de criminalité, en raison de la propagation rapide de la drogue « l’boufa » qui détruit les jeunes marocains en silence.
Badr Hari restera encore au moins trois mois en prison aux Pays-Bas. La justice néerlandaise a décidé de le garder en détention pendant encore 90 jours pour sa présumée implication dans des faits de violence.
Arrêté il y a deux semaines après avoir été interrogé par la police, Badr Hari est plus que jamais soupçonné d’avoir agressé le milliardaire néerlandais Koen Everink lors d’une soirée à Amsterdam. La victime ne pourra probablement plus jamais marcher normalement.
Badr Hari n’a pas le droit d’avoir des contacts avec le monde extérieur, à l’exception de ses avocats. Ces derniers n’ont d’ailleurs plus non plus le droit de s’exprimer devant les médias.
Badr Hari, qui écope de la durée maximale de la détention provisoire aux Pays-Bas, est également soupçonné de coups et blessures sur un gérant d’un club d’Amsterdam, qui a porté plainte après la médiatisation de l’affaire de Koen Everink.
Le frère de l’ex-copine du boxeur marocain, affirme lui aussi avoir été tabassé par Badr Hari en décembre dernier, mais n’a pas souhaité porter plainte.
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