
L’annulation par le roi Mohammed VI du rituel du sacrifice de l’Aïd Al-Adha ne fait pas que des heureux. Les « chennaqas » (intermédiaires et spéculateurs des secteurs de l’agriculture et de la pêche) se trouvent en difficulté.
La Banque Mondiale a décidé mardi d’accorder deux prêts au Maroc, pour une valeur de 342 millions de dollars.
Le Plan Maroc vert bénéficie à ce titre de 205 millions de dollars, qui seront consacrés au renforcement des marchés locaux, au développement de projets en faveur des petits agriculteurs et au perfectionnement de la gestion de l’eau et des infrastructures d’irrigation.
Le deuxième prêt, qui entre également dans le cadre de l’appui à la politique de développement (PPD) au Maroc, consacre 136,7 millions de dollars à l’amélioration de la gestion et des infrastructures de transports.
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