Chakib Benmoussa, ministre de l’Éducation nationale, de l’Enseignement primaire et des Sports, s’est exprimé sur l’adoption par des institutions éducatives étrangères au Maroc de programmes promouvant l’homosexualité.
Les étudiants marocains s’intéressent de plus en plus à la formation dans le privé. Selon le ministère de l’enseignement supérieur, le secteur privé vient de franchir la barre des 50 000 étudiants inscrits dans les cycles d’enseignement supérieur au Maroc.
Plus de 51 000 étudiants seraient inscrits dans les 400 établissements d’enseignement supérieur privés que compte le Maroc. Un rapport prochain du ministère de l’enseignement supérieur sur la rentrée universitaire 2019/2020 viendra certainement confirmer ces chiffres qui représentent un saut quantitatif de près de 10 000 étudiants en quatre années seulement.
Cette performance, selon challenge. ma est le fruit d’un partenariat public-privé. Par filière, les études en Commerce et gestion tiennent toujours la tête du classement, avec près de 24 000 étudiants, soit près de 47 % du nombre total, mais c’est la filière des Sciences de la Santé qui enregistre le plus grand taux de croissance depuis deux ans avec l’entrée en vigueur de nouvelles facultés privées de médecine au sein de l’Université Privée de Marrakech et de l’Université Mundiapolis de Casablanca.
Même si le nombre d’inscrits dans les établissements privés au niveau supérieur a quelque peu grimpé, il n’en demeure pas moins que de gros efforts restent à fournir. Lorsqu’on compare les effectifs globaux des étudiants inscrits dans les différents établissements d’enseignement supérieur au Maroc, la part du privé semble se situer sous la barre de 5 %, alors que pour l’enseignement primaire et secondaire, elle est en progression constante depuis plus de 10 ans, précise la même source.
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