Peter Bouckaert, directeur des urgences de HRW, a indique à l’agence presse espagnole EFE que l’enquête menée par son organisation confirme le décès de treize personnes dont onze membres des forces de l’ordre.
Le démantèlement du camp de Gdim Izik a été marqué par "la violence mais sans usage d’armes à feu, ce qui a causé plus de victimes parmi les forces de l’ordre que parmi les manifestants".
Des incidents avaient éclaté lundi 8 novembre lors du démantèlement du camp de Gdim Izik, dressé le 19 octobre dernier par près de 12.000 habitants de Laâyoune.