Maroc : ces spéculateurs qui gâchent les vacances
Des Marocains ont mis en garde sur les réseaux sociaux contre les « chennaqa » (spéculateurs) qui renchérissent les prix des produits et services dans le royaume, notamment dans...
Au Maroc, la hausse des prix du mouton soulève des inquiétudes quant à la tenue effective de l’Aïd al-adha cette année.
Les prix du mouton pour le sacrifice connaissent une hausse sans précédent depuis trois ans. Cette année, ils ont augmenté d’environ 1 000 dirhams par rapport à 2023, et de 2 000 dirhams par rapport à 2022, confie un commerçant à Aljarida24.
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Ainsi, les moutons qui se vendaient à 4 000 dirhams l’année dernière, coûtent plus de 5 000 dirhams cette année, déplore le commerçant qui rappelle que les moutons importés d’Espagne et des pays voisins grâce aux subventions de l’État, n’ont pas contribué à faire baisser les prix l’année dernière.
Face à cette hausse continue des prix, de nombreux Marocains appellent à l’annulation de l’Aïd el Kébir cette année.
Aller plus loin
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Alors que certains Marocains appellent à l’annulation de la célébration de l’Aïd al-Adha sur les réseaux sociaux, d’autres tiennent au respect de cette tradition religieuse.
À l’approche de la célébration de l’Aïd al-adha, de nombreux Marocains s’inquiètent de la hausse continue des prix du mouton pour le sacrifice.
Alors que l’Aïd El Fitr marquant la fin du mois de ramadan, a été fêté il y a un peu moins d’un mois, les Marocains sont fixés sur la date de l’Aïd al-Adha.
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