En 2020, le Maroc comptait 76 détenus se trouvant dans le couloir de la mort, soit 9 personnes de plus que 2019, selon les données du parquet.
Parmi eux, deux femmes et 19 ont été condamnés pour des attaques terroristes ayant causé la mort de 158 personnes, a précisé le dernier rapport de la présidence du ministère public publié cette semaine.
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Le rapport souligne que le pouvoir judiciaire ne recourt à cette peine qu’en « cas d’extrême nécessité », lorsque le crime a un impact significatif sur la sécurité et la sûreté des personnes, comme l’homicide volontaire associé à d’autres crimes tels que le vol, le viol ou attentat à la pudeur avec violence.