Le Maroc, décor grandiose pour "Gladiator II" avec Denzel Washington

Invité du 20H de TF1 ce dimanche, Denzel Washington s’est confié sur le rôle de Macrinus qu’il a incarné dans le film Gladiator II, en partie tourné au Maroc et en salles ce mercredi.

Denzel Washington interprète Macrinus, un riche marchand d’armes, dans Gladiator II, réalisé par Ridley Scott et qui sera en salles ce mercredi 13 novembre. Ce long-métrage, tourné entre le Maroc, Malte et le Royaume-Uni, est le plus grand projet cinématographique auquel l’acteur américain de 69 ans a participé durant sa riche carrière. « Je n’ai jamais joué dans un film qui a coûté des centaines de millions de dollars », a-t-il confié.

La réalisation de ce blockbuster a coûté pas moins de 250 millions d’euros, un « gros budget », estime Denzel Washington, qui a salué l’ingéniosité du réalisateur australien et de son équipe qui ont conçu des décors impressionnants. « C’était incroyable. L’équipe a reconstitué Rome […], et pas seulement sur fond vert. Ça aide beaucoup pour un acteur. Vous faites votre travail, vous mettez votre costume, et vous arrivez dans ce décor et tout ce que vous voyez, c’est Rome ».

Dans Gladiator II, l’acteur américain joue le rôle de Macrinus, un méchant « complètement dingue », qui « veut tuer tout le monde, coucher avec tout le monde, et surtout dominer ». Washington dit n’avoir pas hésité un instant à accepter le rôle. « Il (Ridley Scott) m’a appelé, il m’a dit : ‘Denzel, je veux faire Gladiator II et je veux que tu le fasses, lis le scénario.’ Je lui ai dit : ‘Arrête-toi là, quand est-ce que je commence, je suis prêt, on se voit sur le tournage !’ », a-t-il raconté.

Macrinus est un personnage que le réalisateur a voulu mettre en valeur. « Ils m’ont apporté tout un tas de bagues, et j’ai commencé à toutes les mettre », a indiqué Washington, affirmant que « tout est excessif dans ce personnage ». L’interprétation de ce rôle n’a pas été aisée, admet l’acteur américain qui a confié qu’il a dû « apprendre à marcher avec une robe » et qu’il lui « est arrivé de me prendre les pieds dedans et de trébucher. »

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