Après les billets de banque, les Marocains craignent la contamination du coronavirus en achetant les journaux papiers. A Fès, les cafés boycottent (carrément) l’achat de ces journaux.
La crainte du coronavirus a bousculé les habitudes chez les Marocains de Fès. Selon un vendeur de journaux qui déplore la situation, son chiffre d’affaires a enregistré une baisse drastique et les retours des journaux atteignent des records historiques, indique l’Économiste.
À l’en croire, le chômage dans ce secteur perdure depuis plus de 3 mois et ils n’ont plus de quoi vivre… “Avec cette chute de ventes constatée depuis la reprise de l’impression des journaux, la situation devient dramatique”, se désole-t-il.
Il n’a pas manqué d’inviter les lecteurs à acheter à nouveau leurs journaux de référence.