
L’utilisation à des fin illégales des empreintes et des échantillons d’ADN des Marocains, prélevés dans le cadre des enquêtes criminelles, préoccupe des parlementaires qui ont interpelé le gouvernement à ce sujet.
Le Français d’origine marocaine, Abdallah Kouidri et son co-accusé, Saîd Baha, ont été condamnés, mercredi en appel, à deux ans de prison ferme pour des infractions pénales liées au terrorisme.
Les deux accusés avaient été condamnés en décembre dernier à trois ans de prison en première instance pour « constitution de bande criminelle en vue de préparer et de commettre des actes terroristes dans le cadre d’un projet collectif visant à porter atteinte à l’ordre public, exercice d’activités au sein d’une association non reconnue et réunions publiques sans autorisation ».
Kouidri, 26 ans, résidant à Montpellier, avait été arrêté le 8 janvier 2006 à Bouâarfa pour son implication dans des actes terroristes. Il avait rejoint le Maroc le 21 décembre 2005.
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