Mohammed VI nomme les membres du Conseil Supérieur de l’Éducation

17 novembre 2022 - 14h20 - Maroc - Ecrit par : A.T

Le roi Mohammed VI a procédé mercredi à la nomination des membres du Conseil Supérieur de l’Éducation, de la Formation et de la Recherche Scientifique (CSEFES). Cet organe composé de 20 membres a pour objectif de définir les politiques publiques dans ce secteur crucial.

Après la nomination d’Habib El Malki comme président du Conseil, le souverain a désigné les membres qui vont siéger au sein de cette institution consultative, indique un communiqué royal, précisant qu’il s’agit des experts et spécialistes, reconnus pour leur expertise et leur compétence dans les domaines de l’éducation, de la formation, de la recherche scientifique et de la culture.

A lire : Enseignement supérieur : le Maroc fait appel aux MRE

Ces promotions, souligne la même source, sont proposées par le gouvernement et certaines instances et institutions nationales. On y retrouve également deux membres de chacune des deux Chambres du Parlement, ainsi que des représentants des syndicats de l’enseignement et d’autres membres nommés par le Chef du gouvernement.

L’objectif est de renouveler la composition du conseil et lui permettre d’assumer les missions qui lui sont confiées par la Constitution, en particulier à travers des avis sur les politiques publiques concernant l’éducation, la formation et la recherche scientifique et l’évaluation des politiques et programmes publics dans ce secteur crucial, en vue de promouvoir l’école marocaine, offrir un enseignement de qualité à tous et garantir l’équité et l’égalité des chances dans ce domaine.

A lire : Le Maroc participera à une table ronde sur l’éducation en Israël

Ainsi, le conseil Supérieur de l’Éducation, de la Formation et de la Recherche Scientifique (CSEFES) comprend Jamil Salmi, Amina Lemrini El Ouahabi, Amine Bensaïd, Youssef Saadani Hassani, Assia Akesbi Msefer, Mohamed Sghir Janjar, Hamid Bouchikhi, Mohamed Bernoussi, Aïcha El Hajjami, Laila Bensliman, Mokhtari Kouider, Amal El Fallah Seghrouchni, Salah El Ouadie, Fouad Chafiki, Jamal Belahrech, Moulay Driss Alaoui, Mohamed Amine Sbihi, Mohamed Slassi Sennou, Rachid Benzine et Fatima Zahra Biaz.

Bladi.net Google News Suivez bladi.net sur Google News

Bladi.net sur WhatsApp Suivez bladi.net sur WhatsApp

Sujets associés : Mohammed VI - Education - Gouvernement marocain

Aller plus loin

Enseignement supérieur : le Maroc fait appel aux MRE

Le Maroc envisage de recourir à ses compétences à l’étranger pour améliorer la qualité de l’enseignement supérieur dans ses universités. Une réforme est en cours de préparation...

Salé : une femme, cadre du ministère de l’Éducation nationale arrêtée pour escroquerie

Les éléments de la police de Salé ont arrêté une fonctionnaire en service au ministère de l’Éducation nationale pour escroquerie, usurpation de fonction et abus de confiance.

Le Maroc participera à une table ronde sur l’éducation en Israël

Le ministère marocain de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique invite les chefs d’université à participer à une table ronde qu’organise une université...

Maroc : un budget de 62 milliards de DH pour l’éducation en 2022

Le gouvernement marocain a prévu, dans le Projet de loi de finance 2022, la somme 62,45 milliards de DH pour soutenir le secteur de l’Éducation et le préscolaire.

Ces articles devraient vous intéresser :

Maroc : la réforme des retraites divise

La réforme des retraites donne du fil à retordre à l’Exécutif marocain. De leur côté, les syndicats s’inquiètent de sa mise œuvre dans un contexte économique marqué par l’inflation, exprimant des craintes quant à l’avenir des retraités.

Mohammed VI : ses succès et ses défis

Le roi Mohammed VI a fêté en août ses 60 ans et ses 24 ans de règne. Son fils Moulay Hassan, prince héritier, soufflait quelques mois plus tôt, le 8 mai, ses 20 bougies. À un an de ses 21 ans, âge requis pour être roi, les inquiétudes quant à la santé...

Bouteille de gaz au Maroc : le prix flambe à partir d’avril

Le compte à rebours est lancé. À partir du 1ᵉʳ avril 2024, les Marocains devront mettre la main à la poche pour se procurer une bouteille de gaz butane. Exit la subvention de l’État, le prix passera de 40 à 50 dirhams, actant la première étape d’une...

Quand Jeune Afrique encense Mohammed VI

Dans une analyse, François Soudan, directeur de la rédaction du magazine Jeune Afrique, a décortiqué le règne de Mohammed VI, mettant en avant la détermination, la vision claire et le bon sens du monarque marocain qui a su s’adapter aux exigences du...

Le Roi Mohammed VI instaure le Nouvel An Amazigh comme jour férié au Maroc

Le Nouvel An Amazigh sera désormais un jour férié officiel au Maroc, selon une décision qui vient d’être prise par le roi Mohammed VI.

Maroc : très bonne nouvelle pour les salariés

En application de l’accord signé le 30 avril 2022 entre le gouvernement et les syndicats, le salaire minimum interprofessionnel garanti (SMIG) va augmenter de 5 % dès le 1ᵉʳ septembre dans les secteurs de l’industrie, du commerce, de l’agriculture et...

Marocains, déclarez vos avoirs à l’étranger : les règles changent en 2024 !

Le gouvernement marocain a instauré dans le budget 2024 une contribution libératoire relative à la régularisation spontanée sur les avoirs et liquidités détenus à l’étranger de manière définitive. Que retenir ?

Croissance économique en 2023 : le Maroc entre optimisme gouvernemental et les incertitudes du HCP

En 2023, le Maroc devra faire face à des défis économiques importants, selon le Haut commissariat au plan (HCP). Les experts de cette institution estiment que la croissance économique atteindra seulement 3,3% cette année, en deçà des prévisions du...

Les chrétiens marocains contraints de vivre leur foi en secret

Les chrétiens marocains sont rejetés par leurs familles et la société. Bien que la Constitution de 2011 garantisse la liberté de conscience, la pratique d’une religion autre que l’islam sunnite est passible d’une peine pouvant aller jusqu’à trois ans...

L’anglais s’impose peu à peu dans l’école marocaine

Petit à petit, l’insertion de l’anglais dans l’enseignement se généralise au Maroc. Après le primaire, c’est au tour du collège, selon un communiqué du ministère de l’Éducation nationale dès la prochaine année scolaire.