Le Maroc travaillait avec ses « amis de l’Espagne et du Portugal » pour que « cette candidature laisse son empreinte dans l’histoire », a déclaré Mohammed VI, ajoutant qu’elle « construit un pont entre deux continents et deux civilisations, l’Afrique et l’Europe, et unit les deux rives de la Méditerranée ». Pour le monarque, cette candidature qu’il a annoncée en mars dernier, et qui constitue un « précédent dans l’histoire du football », « incarne très bien l’ambition des peuples de la région à avancer ensemble vers plus de collaboration, de compréhension et de communion ».
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Mohammed VI va renouer cette année avec les festivités de la Fête du Trône. Ce dimanche, il offre une réception sur la Place de la Préfecture de la ville de M’diq, près de Tétouan. Demain, lundi, il présidera, en sa qualité de chef d’état-major général, la cérémonie de prestation de serment des officiers et des diplômés des écoles et instituts militaires, paramilitaires et civils sur la Place du Mechouar, palais royal de Tétouan, laquelle sera suivie d’une réception aux officiers de la Garde Royale.
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Dans l’après-midi, le Souverain présidera la « beia », cérémonie au cours de laquelle les notables rendent hommage au roi. Y sont conviées les personnalités élues (ministres, parlementaires, maires) et nommées par le monarque dans les régions du pays ou à la tête d’organismes publics. Dans son discours, Mohammed VI a par ailleurs appelé à « un retour à la normalité » dans les relations avec l’Algérie qu’il a qualifiées de « stables », tout en souhaitant qu’elles « s’améliorent ».