Le scandale de corruption qui secoue le Parlement européen continue de livrer ses secrets. Le Maroc est, lui, aussi soupçonné d’avoir sollicité des eurodéputés pour qu’ils interviennent en sa faveur notamment sur la question du Sahara.
Le Conseil de sécurité des Nations-Unies a refusé mardi d’ouvrir une enquête officielle sur les incidents à l’origine de la mort de treize personnes lundi 8 novembre à Laayoune.
Le refus d’ordonner cette enquête, réclamée par le Polisario, n’a pas empêché l’ONU de condamner les évènements de Laayoune et de réclamer au Maroc et au Polisario de "faire preuve de plus de volonté politique".
Des incidents avaient éclaté lundi 8 novembre lors du démantèlement du camp de Gdim Izik, dressé le 19 octobre dernier par près de 12.000 habitants de Laâyoune.
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