Une Marocaine meurt après avoir pris des pilules achetées sur Instagram
Une Marocaine de 28 ans est décédée après avoir pris des pilules amincissantes achetées auprès d’une inconnue qui faisait la promotion de ces produits sur Instagram.
Le risque d’une rupture de stock de certaines classes thérapeutiques, indiquées dans les pathologies chroniques, inquiète au plus haut point le Syndicat national des pharmaciens du Maroc.
La crainte des pharmaciens trouve son origine dans la prescription excessive de certains médicaments pour maladies chroniques aux patients atteints de Covid-19.
Dans un courrier adressé au ministre de la Santé, Khalid Ait Taleb, le Syndicat a fait part de son inquiétude face à la baisse constatée du stock de certaines molécules dans les rayons des pharmacies.
Pour parer à ce contretemps, les responsables d’officines ont invité le ministre à publier une note les autorisant à substituer des médicaments équivalents aux traitements prescrits.
Aller plus loin
Une Marocaine de 28 ans est décédée après avoir pris des pilules amincissantes achetées auprès d’une inconnue qui faisait la promotion de ces produits sur Instagram.
Les ordonnances délivrées par certains médecins provoquent la colère chez les pharmaciens qui demandent le passage des prescriptions au numérique.
Les pharmaciens engagés dans le combat contre le coronavirus, viennent de perdre un des leurs. Le défunt est âgé de 60 ans et était le propriétaire d’une pharmacie à Béni Mélal.
La polémique sur la politique des médicaments au Maroc a miné les relations entre les cliniques privées, le ministère de la Santé et les pharmaciens. Ces derniers, affichant...
Ces articles devraient vous intéresser :