Onze Marocains sont actuellement recherchés par l’organisation de la police internationale : Interpol. Ces individus, sous le coup de mandats internationaux, sont accusés de crimes et délits graves.
L’arrestation de trois policiers en flagrant délit de corruption, grâce à des caméras de surveillance placées non loin du centre-ville de Rabat, fait polémique dans la capitale.
L’un des policiers ripoux a été révoqué de la police, après avoir été filmé recevant de l’argent d’automobilistes. A défaut de preuves suffisantes, les deux autres agents ont écopé d’une mutation disciplinaire vers d’autres villes.
La Direction Générale de la Sûreté Nationale est décidée, officiellement, à moraliser le système sécuritaire du pays. Une source de la DGSN citée par le quotidien Assabah, affirme ainsi que son service s’est offert des caméras high-tech, permettant d’obtenir avec précision le son et l’image des échanges entre policiers et contrevenants, même à des distances très lointaines.
En mars dernier, 19 policiers en poste à Rabat avaient été inculpés pour des faits de corruption. Cinq d’entre eux ont été accusés de liens avec un trafiquant de drogue de Temara.
Selon le rapport de l’Instance centrale de prévention de la corruption, le corps de police fait partie des administrations les plus corrompues au Maroc, avec la justice et les administrations du ministère de l’Intérieur.
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