Réaffirmant son attachement « à garantir toutes les conditions idoines permettant aux pensionnaires de pratiquer les rituels religieux en toute liberté, notamment pendant le mois sacré de Ramadan », la DGAPR indique qu’il n’y a eu aucun cas de rasage de barbes ou d’interdiction de lancer l’appel à la prière (Adan) contrairement aux « allégations véhiculées par certaines parties prétendument œuvrant dans le domaine des droits de l’Homme ».
La DGAPR réitère sa « détermination à garantir toutes le conditions idoines permettant aux pensionnaires de pratiquer les rituels religieux en toute liberté, notamment pendant le mois sacré de Ramadan empreint de spiritualité », poursuit le communiqué.