Le droit à l’égalité dans l’héritage reste une équation à résoudre dans le cadre de la réforme du Code de la famille au Maroc. Les modernistes et les conservateurs s’opposent sur la reconnaissance de ce droit aux femmes.
Un sit-in a été organisé devant le siège de l’ONU à Rabat, à l’initiative de l’association de la femme sahraouie pour le développement intégré de Tan Tan.
Cet événement avait pour but d’attirer l’attention sur le situation catastrophique où se trouve les séquestrés marocains de Tindouf, a indiqué la présidente de cette association, Fatemato Zaima.
Celle-ci indique avoir remis un message qui sera transmis au Secrétaire général des Nations Unies, dans lequel elle demandait la libération des séquestrés marocains.
A cette occasion, Fatemato Zaima a appelé au recensement des séquestrés et à la dénonciation des violations des droits de l’homme dont ont été victimes les séquestrés, plus particulièrement les femmes, dans ces camps.
En marge de cet événement, une rencontre de soutien à ces victimes a par ailleurs été organisée en collaboration avec la faculté des sciences, rattachée à l’Université Mohammed V de Rabat.
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