
Viré de BFMTV, Rachid M’barki trouve du travail au Maroc
Quelques mois après son licenciement pour faute grave, Rachid M’barki, ex-présentateur franco-marocain du journal de la nuit de BFMTV pose ses valises au Maroc, où il...
Disparu des radars depuis son éviction de BFMTV en février 2023 et sa mise en examen pour « abus de confiance » et « corruption privée passive » en décembre de la même année, le journaliste Rachid M’Barki a fait sa réapparition samedi 30 août sur le compte Instagram de la chaîne marocaine Medi 1 TV.
« Je vous donne rendez-vous tous les matins, de 8h à 9h, on va faire le tour de l’actualité nationale et internationale. On va s’intéresser aussi à l’économie, au sport, on va feuilleter la presse et on regardera ce qu’il se passera du côté culturel », a déclaré l’ancien journaliste de BFMTV dans une vidéo postée sur le compte Instagram de Medi 1 TV, où on le voit debout au milieu d’une rédaction et affichant un large sourire. Et d’ajouter : « Chaque matin, on appellera 3 correspondants en Afrique pour connaître leur actualité. Et après 9h, on recevra l’invité de la matinale ».
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Rachid M’Barki a été licencié de BFMTV en février 2023 pour avoir usé de sa position de présentateur des « Journaux de la nuit » pour diffuser des informations erronées pour le compte de puissances étrangères entre 2021 et 2022, rappelle Gala. Le journaliste aurait diffusé des brèves sur des oligarques russes, ainsi que sur le Maroc, le Qatar, le Soudan et le Cameroun moyennant de l’argent. L’ancienne star du canal 13 a été mis en examen en décembre de la même année.
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Lors de sa garde à vue à la Brigade de répression de la délinquance économique (BRDE), Rachid M’Barki a reconnu les faits. « Il m’est arrivé de recevoir des sommes d’argent […] Oui, je reconnais les faits de corruption passive », a-t-il avoué. Des aveux rapportés par Le Parisien en avril 2024, confirmant le « grand nombre de messages compromettants pour le journaliste ».
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