Poursuivis pour leur campagne d’affichage contre le maire de la commune de Goussainville, Abdelaziz Hamida, soupçonné de proximité avec les milieux islamistes et d’être fiché S., les militants parisiens de Génération Identitaire, une association dissoute le 3 mars 2021 en Conseil des ministres, ont été relaxés en appel.
Il était reproché aux militants parisiens de Génération Identitaire d’avoir procédé le 13 octobre 2020 à une campagne d’affichage contre le maire de la commune de Goussainville, Abdelaziz Hamida, soupçonné de proximité avec les milieux islamistes et d’être fiché S.
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Accusés de « provocation publique à la haine ou à la violence en raison de l’origine, de l’ethnie, de la nation, de la race ou de la religion par parole, écrit, image », les militants parisiens de Génération identitaire avaient été, en avril 2021, condamnés en première instance à payer entre 500 et 750 € d’amende chacun. Mardi, ils ont été intégralement relaxés en appel.