
Une vingtaine de parlementaires marocains sont dans le collimateur de la justice. Ils sont poursuivis pour faux et usage de faux, abus de pouvoir, dilapidation et détournement de fonds publics.
Des peines allant jusqu’à trois ans de prison ferme ont été prononcées à l’encontre de quatre individus accusés d’apologie de terrorisme.
Un accusé a été condamné vendredi à une peine de 3 ans de prison, deux autres ont écopé de deux ans de prison ferme alors qu’un dernier a été condamné à 8 mois de prison par la Chambre criminelle de la Cour d’appel de Salé.
Au lendemain de l’assassinat de l’ambassadeur de Russie à Ankara, plusieurs messages avaient été publiés sur Facebook se réjouissant de la mort du diplomate.
Les autorités marocaines avaient rappelé que ce délit était puni par le code pénal d’une peine pouvant aller jusqu’à trois ans de prison ferme. Des dirigeants issus du PJD avaient eux estimé que les propos tenus par les accusés relevaient de la liberté d’expression et ne devaient donc pas été condamnés. La justice en a décidé autrement donc.
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