Une récente enquête du Conseil supérieur de l’éducation, de la formation et de la recherche scientifique (CSEFRS) lève le voile sur la persistance de pratiques de punitions violentes dans les établissements scolaires marocains.
Déjà treize semaines que le Maroc s’évertue à coups de stratégies et de moyens à lutter contre le coronavirus, espérant une amélioration de la situation épidémiologique du pays. Pour le ministre de l’Éducation nationale, si la situation était alarmante, elle semble maîtrisée, avec une nette diminution du nombre des nouveaux cas et des actifs.
Le ministre Saaïd Amzazi se dit confiant quant à la maîtrise de l’épidémie par le Maroc. Pour lui, cela n’aurait pu être possible sans "l’engagement des citoyens à respecter les mesures de quarantaine, d’une part, et à appliquer les mesures préventives et de précaution, d’autre part". Il insiste sur le fait que le moment est au renforcement de cet état d’esprit pour une victoire totale.
À la date du 31 mai 2020, selon les données fournies par le ministère de la Santé, "le taux de guérison est de 69,9 %, le taux de mortalité est de 2,6 % et le taux de cas actifs pour 100 000 habitants est de 5,9 %".
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