Ces nouvelles règles entreront en vigueur d’ici 2021 et permettront aux banques de se faire rembourser les crédits accordés pour des biens immobiliers. Le but est de préparer « l’encadrement de l’endettement immobilier des ménages ». Selon l’Économiste, « l’encours est de 226 milliards de dirhams, avec un taux de défaut de 6,8% en 2019 ».
Désormais, il sera tenu compte du rapport entre le montant du crédit et le prix d’achat du bien immobilier pour « prévenir l’endettement excessif des ménages et protéger les banques contre les risques associés ». À très court terme, « les nouvelles mesures pourraient écarter certains demandeurs de l’accès au crédit immobilier », précise le journal.