L’Agence nationale de sécurité routière (NARSA) poursuit la généralisation de l’utilisation des radars fixes et mobiles installés à bord des véhicules. La mesure est effective dans la région de Drâa-Tafilalet depuis lundi, après les régions de Fès-Meknès, Souss-Massa, et Guelmim-Oued Noun la semaine dernière.
Ces radars visent à contrôler la vitesse dans les deux sens et sur six voies différentes simultanément. La mesure va s’étendre progressivement aux autres régions du royaume et contribuera, espère-t-on, à réduire les cas d’accidents de la route.
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L’Agence nationale de sécurité routière a mis à la disposition de la Direction générale de la sûreté nationale et de la Gendarmerie royale environ 670 radars fixes et quelque 780 radars mobiles. Ces équipements seront déployés dans toutes les régions sur l’ensemble du territoire du royaume.
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Chaque région aura droit à un radar, à l’exception de Rabat-Salé-Kénitra-Témara, Casablanca-Settat et Drâa-Tafilalet qui, en raison de la densité de leur population, bénéficieront chacun de deux radars.
Aller plus loin
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De nouveaux radars mobiles ont été déployés sur les routes marocaines, notamment dans le nord du pays. Leur particularité c’est qu’ils sont mobiles donc plus difficiles à détecter.
Au Maroc, certaines infractions routières seront plus sévèrement punies. Tel est le vœu de la Gendarmerie royale qui mise sur la correction de certaines lacunes judiciaires.
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