
L’Union européenne (UE) affiche sa détermination à utiliser pleinement les instruments de défense commerciale pour protéger son industrie et les emplois qu’elle génère du Maroc.
Selon une étude effectuée par cinq chercheurs français du Centre d’études de l’emploi, le lieu de résidence, le sexe et l’origine influeraient sur l’obtention d’un emploi en Frnace. En ressort que les femmes d’origine marocaine, qui résident dans des communes connues pour leur pauvreté, ont moins de chances de décrocher un emploi.
Ainsi, les femmes d’origine marocaine seraient les plus touchées par la discrimination territoriale alors que les femmes d’origine française et résidant dans des villes aisées occupent le haut du classement.
Les jeunes diplômés originaires de communes ou de villes aisées ont également plus de chances d’être acceptés pour un emploi que ceux originaires des communes pauvres ou ayant une mauvaise image dans les médias.
L’origine et le sexe des demandeurs d’emploi peuvent également constituer un handicap lors de l’embauche.
L’enquête s’est faite à partir de douze profils fictifs répartis sur trois villes différentes, avec un cv identique pour tous les candidats, mais dont deux portaient des noms français et deux des noms maghrébins.
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