
La lutte contre l’économie informelle reste le cheval de bataille de la Direction Générale des Impôts (DGI). Dans ce sens, celle-ci a adopté une nouvelle stratégie.
La corruption a proliféré au Maroc, d’après 89% des Marocains interrogés par l’ONG Transparency Maroc, dont 72% estiment que l’action du gouvernement Benkirane pour combattre la corruption est inefficace.
Les services de police et de santé sont les secteurs les plus corrompus au Maroc, d’après 62% des Marocains questionnés pour l’enquête, qui octroie une note de 4,2/5 à ses secteurs.
Les administrations publiques du pays figurent en deuxième position des instances les plus corrompues avec 4,1/5, suivies du corps judiciaire (4/5), des Partis politiques (3,9/5) et du système éducatif (3,7/5).
Environ 60% des Marocains se disent prêts à soutenir les efforts du gouvernement pour combattre la corruption, d’après l’enquête menée dans le cadre du baromètre mondial de la corruption pour 2013.
Au total 114.000 personnes ont été interrogées dans 107 pays à travers le monde, dont 1004 au Maroc. La moitié des Marocains sondés, affirment avoir recours à la corruption pour accéder à des services.
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