17 janvier 2021 - 18h30 - Monde - Par: S.A
Des hommes politiques français s’insurgent contre la relaxe d’Idriss Sihamedi, président fondateur de BarakaCity poursuivi pour « cyberharcèlement » contre la journaliste et militante Zineb El Rhazoui, et appellent à changer la loi afin de « protéger tout citoyen contre la haine en ligne ».
Depuis la relaxe de l’acteur associatif, les réactions indignées de politiques français s’enchaînent. « La relaxe prononcée pour l’auteur d’une campagne de harcèlement sur les réseaux sociaux contre Zineb El Rhazoui montre que la loi doit absolument être changée pour protéger tout citoyen contre la haine en ligne. Nous le ferons avec la loi ’respect des principes de la République’ », a écrit le député de Loire-Atlantique, François de Rugy.
« La relaxe d’Idriss Sihamedi est un nouvel épisode de la longue série de faiblesses de notre système judiciaire dans la lutte contre l’islam radical », a commenté, pour sa part, le sénateur Bruno Retailleau.
Considérant qu’il n’existait « aucune preuve de la dégradation effective des conditions de vie » de l’ex-journaliste de Charlie Hebdo, le tribunal correctionnel de Paris a relaxé, vendredi 15 janvier, le fondateur de l’association BarakaCity, Idriss Sihamedi.
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