Le média espagnol a souligné que les passages de Beni Nsar et Tarajal seront accessibles à partir de la première semaine de mars prochain, sous réserve de l’évolution de la situation épidémiologique.
Le Maroc avait demandé au mois de septembre de réduire le nombre de postes frontaliers à un seul par ville, et d’en limiter le passage qu’aux employés et aux touristes.
La décision d’interdire la circulation des marchandises, décrétée par les autorités marocaines « pour la défense de la dignité de la femme marocaine », continuera d’asphyxier aussi bien les opérateurs économiques des villes espagnoles que les milliers de « femmes-mulets », écrit la même source.