Les faits remontent à mars 2015 lorsqu’une femme porte plainte contre un agent de police exerçant à Benguerir qu’elle accuse de l’avoir violée et de l’avoir mise enceinte.
Une expertise génétique a ensuite confirmé la relation biologique entre l’agent de police et la plaignante, indique la DGSN dans un communiqué qui précise que ce dernier a été condamné à de la prison avec sursis en première instance.
En attendant la jugement en appel, la DGSN a décidé de le suspendre et de le présenter ensuite en conseil de discipline.
Cette mise au point intervient après la publication d’une vidéo intitulée : « Lettre émouvante à faire pleurer les pierres d’une jeune femme violée par un agent de police » dans laquelle la victime se plaint de la lenteur de la justice et la supposée protection de l’agent de police.