
Le Maroc met en œuvre des projets d’autoroutes et de route d’envergure. Certains affichent un taux de réalisation de 100 %, tandis que d’autres avancent à grands pas.
Casablanca voudrait se doter d’un tramway suspendu (monorail), un projet qui nécessitera entre 8 et 9 milliards de dirhams, contre 6 milliards pour la première ligne du tramway de la métropole économique.
Des techniciens du ministère de l’Intérieur conduits par Charki Draïss, ministre délégué à l’Intérieur, et Mohamed Sajid, maire de Casablanca, se rendront la semaine prochaine au Chili, pour étudier de près le tramway aérien chilien dont devrait être inspiré celui de Casablanca.
Cette deuxième ligne de tramway de 18 kilomètres, partira du quartier Moulay Rachid, traversera Sidi Othmane, Ben Msik et le Boulevard Mohammed VI, avant d’arriver aux boulevards Al Moukawama et Zerktouni.
En attendant, Casablanca étouffe et attend le lancement de la première ligne du tramway prévu le 12 décembre prochain. La ville enregistre au quotidien près de 11 millions de déplacements et 1,5 million de véhicules en circulation.
Au cours de ces dernières semaines, d’énormes bouchons rendent les déplacements infernaux. Ni le tramway, ni la nouvelle infrastructure routière prévue pour 2013, ne semblent suffire pour mettre fin au calvaire des Casablancais.
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