Sur l’île Saint-Louis, la discrète vie parisienne de Jamel Debbouze
L’humoriste franco-marocain Jamel Debbouze, 50 ans, possède un luxueux appartement dans un quartier chic à Paris, où il vit avec sa femme, la journaliste Mélissa Theuriau et...
Boycott : le restaurant de Jamel Debbouze cède et supprime ses vins israéliens
Le restaurant Dar Mima, installé sur le toit de l’Institut du Monde Arabe à Paris et co-créé par Jamel Debbouze, a modifié sa carte des vins en y retirant des références israéliennes. Cette décision fait suite à une campagne menée par l’organisation Campagne BDS France, qui s’opposait à la commercialisation de ces produits au sein de l’établissement.
Le différend a été initié par un premier courrier en date du 8 août 2025, adressé par le collectif à la direction du restaurant. Dans cette lettre, l’organisation se disait « choqué·es par la vente de vins israéliens », qualifiant ce choix d’« incompréhensible ». Le groupe fondait son argumentation sur plusieurs points, jugeant les vins « médiocres », leur présence inappropriée dans un lieu représentant le « monde arabe », et suggérant que ce choix était motivé par des « raisons politiques ».
À lire : Le restaurant de Jamel Debbouze visé par un appel au boycott
N’ayant obtenu aucune réponse, l’organisation a ensuite publié ce courrier sur son site et ses réseaux sociaux. La Campagne BDS France avançait également des arguments d’ordre légal, affirmant que certains vins provenaient du Golan, présenté comme un « territoire syrien illégalement annexé par Israël ». Selon le collectif, ces produits seraient par conséquent « illégaux » et leur vente exposerait le restaurant à des accusations de « recel de vol et de complicité de crime de colonisation ».
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Suite à cette publication et à une réponse du restaurant jugée « évasive » par l’organisation, il a été constaté que les vins en question avaient été rayés de la carte. Dans une seconde lettre datée du 22 août, BDS France a indiqué prendre « acte de cette décision ». Le collectif a précisé que sa « seule motivation est le respect des droits humains et des droits du peuple palestinien », ajoutant qu’il resterait « vigilant·es quant à la permanence de cette décision dans les mois à suivre ».
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