
Regroupement familial : le Canada veut raccourcir les délais de traitement
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Deux ans de prison ferme avec maintien en détention, c’est la peine infligée à un Marocain de 33 ans, par le tribunal de Dordogne. Le soir du réveillon et le matin de Noël, il avait été arrêté pour violences envers son ex-compagne.
Suspecté de violences conjugales commises entre février 2019 et novembre 2020, le prévenu, en situation irrégulière, n’avait pas respecté l’interdiction d’entrer en contact avec son ex-compagne. Ivre, il lui avait notamment tiré les cheveux jusqu’à provoquer sa chute, rapporte Sud Ouest, précisant qu’il a été jugé en comparution immédiate lundi 28 décembre par le tribunal qui, finalement, a traité les deux dossiers lundi 28 décembre, en s’appuyant sur trois plaintes et huit certificats médicaux de la plaignante.
Lors de l’audience, le prévenu a promis de ne plus s’en prendre à son ancienne conjointe. Pour la procureure, il se sert probablement de sa victime pour tenter d’obtenir une situation en France.
Verdict, le trentenaire, sans emploi, qui ne s’occuperait pas de sa fille issue d’une précédente union, a été condamné à deux ans de prison ferme avec maintien en détention, pour violences conjugales et violation de domicile. Il a également écopé d’une interdiction du territoire pendant cinq ans.
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