Ayem Nour révèle les dessous d’un contrat avec son ex-mari

4 novembre 2024 - 18h00 - France - Ecrit par : P. A

Ayem Nour lève un coin de voile sur sa privée dans son ouvrage « Toutes celles que je suis », qui sort ce lundi 4 novembre. Elle y dévoile entre autres le contrat que lui aurait proposé son ex-mari et père de son fils.

Dans cet ouvrage publié aux éditions Leduc, Ayem Nour fait des confidences sur sa vie privée, et notamment son combat pour la garde de son fils, Ayvin, que l’homme d’affaires Vincent Miclet, son ex-mari et père de l’enfant, était décidé à récupérer. « Il voulait la garde alors qu’Ayvin et moi vivions ensemble depuis toujours. Être séparée de mon fils était inimaginable et totalement injustifiée », peut-on lire à l’entame du livre.

L’ancienne star de Secret Story confie ensuite que « depuis des mois, il me propose un accord. Je résiste », même si, avoue-t-elle, ce contrat est « tentant ». Ayem Nour révèle que son ex-mari lui a proposé « une maison pour notre fils et moi, un service digne d’une famille royale, une pension alimentaire à quatre chiffres ». Mais à une condition. Vincent Miclet souhaite que « je fixe la résidence au Maroc et que j’accepte de modifier les modalités des droits de visite et d’hébergement pour mettre en place une garde alternée », détaille-t-elle.

À lire : Ayem Nour condamnée au Maroc, Vincent Miclet s’exprime sur la garde de leur fils

Un arrangement qui ne semble pas lui convenir. « Or, ce n’est pas mon pays : si je le connais pour y avoir passé des vacances, j’ignore si y habiter nous plaira, et surtout, si Ayvin et moi serons capables de nous adapter à ce nouveau mode de vie ». Autre couac, ses contraintes professionnelles en tant que chroniqueuse dans une émission à la télévision. « Le projet me semble compliqué. Mais comme V ne manque pas de moyens, il propose de payer tous mes allers-retours en professionnels, tout en précisant noir sur blanc que ce serait en ‘éco’ ».

Ayem Nour aurait finalement donné son accord de principe. « Je te propose un essai. Ce n’est ni oui, ni non. Ajoute noir sur blanc à cet accord, que, pour un an, et que nous ferons le point à la fin de l’année scolaire de notre fils », aurait-elle répondu à son ex-mari.

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