Driss Basri junior est né

5 juillet 2012 - 19h31 - Maroc - Ecrit par : Jalil Laaboudi

La famille du défunt ministre de l’Intérieur marocain Driss Basri, a fêté dimanche dernier la naissance d’un petit garçon baptisé Driss, en hommage à son grand père.

Son papa, Taoufik Basri, est fils du défunt puissant ministre de l’Intérieur de feu Hassan II, lequel avait été déchu de ses fonctions quelques mois après l’intronisation du Roi Mohammed VI.

Seuls quelques proches ont assisté au baptême du petit-fils de Driss Basri, dont l’avocat Mohamed Ziane. Aucun des anciens amis du puissant vizir, n’a souhaité assister à la fête.

Ami intime du prince Moulay Rachid, Taoufik Basri était très proche de son père et avait très mal vécu le limogeage de celui-ci. Il l’avait d’ailleurs accompagné le 9 novembre 1999 au siège du ministère de l’Intérieur pour la passation des pouvoirs, dont il a gardé un souvenir aigri.

Malgré son exil doré à Paris, Driss Basri n’a jamais cessé de rêver de sa Chaouia natale, qu’il avait quittée dans les années ’60. Loin de ses enfants Hicham, Taoufik, Khalid, Wydad et Soukaïna, l’ancien "premier flic" du Maroc s’est éteint le 27 août 2007 à Paris.

Bladi.net Google News Suivez bladi.net sur Google News

Bladi.net sur WhatsApp Suivez bladi.net sur WhatsApp

Sujets associés : Hassan II - Driss Basri - Enfant

Ces articles devraient vous intéresser :

Ismaïl Alaoui raconte les dessous politiques du putsch avorté contre Hassan II

« Ismaïl Alaoui : La noblesse de la politique, un parcours de vie ». C’est le titre du livre de l’ancien secrétaire général du Parti du progrès et du socialisme (PPS), paru en février dernier. L’auteur y révèle certains secrets sur la tentative de coup...

Au Maroc, des « saltos » mortels

Un médecin généraliste en service à l’hôpital Hassan II de la ville de Fnideq alerte contre le salto, les plongeons à haut risque exécutés depuis les hauteurs rocheuses des plages surtout en période estivale, qui coûtent la vie aux mineurs et aux...

Hassan II, 25 ans après sa mort : une légende toujours vivante

25 ans après son décès, le roi Hassan II reste une figure centrale dans l’imaginaire collectif marocain. En témoignent les vidéos documentant ses discours et conférences de presse qui cumulent des millions de vues sur YouTube, Facebook et X...

Tourisme au Maroc : une saison estivale en demi-teinte

À l’heure où les Marocains résidant à l’étranger (MRE) retournent dans leurs pays d’accueil, les familles marocaines rejoignent leurs villes de résidence, pour préparer la rentrée scolaire de leurs enfants, les professionnels du tourisme font le bilan...

Maroc : des centres pour former les futurs mariés

Aawatif Hayar, la ministre de la Solidarité, de l’intégration sociale et de la famille, a annoncé vendredi le lancement, sur l’ensemble du territoire du royaume, de 120 centres « Jisr » dédiés à la formation des futurs mariés sur la gestion de la...

L’actrice Hiba Abouk parle de son ex Achraf Hakimi

Malgré leur séparation il y a plus de deux ans, Hiba Abouk entretient de bonnes relations avec Achraf Hakimi. L’actrice espagnole d’origine tunisienne apprécie l’attention constante que le défenseur marocain du PSG porte à leurs deux enfants, Amin et...

Alerte sur les erreurs d’enregistrement des nouveaux-nés au Maroc

L’Organisation marocaine des droits de l’homme (OMDH) a alerté le ministre de l’Intérieur, Abdelouafi Laftit, au sujet du non-enregistrement des nouveau-nés à leur lieu de naissance, l’invitant à trouver une solution définitive à ce problème.

Mohammed VI et son impressionnante collection de voitures

Il n’est pas rare de voir le roi Mohammed VI se balader dans les rues de Rabat sans escorte au volant de l’une des voitures de sport de son imposante collection qui compterait plus de 600 véhicules.

Hiba Abouk et Achraf Hakimi se retrouvent à Madrid

Un an et demi après leur divorce, Hiba Abouk et Achraf Hakimi ont été vus mardi à Madrid, en compagnie de leurs enfants, Amin et Naim.

Quand la rentrée scolaire pousse les Marocains à l’endettement

L’approche de la rentrée scolaire et la fin des vacances d’été riment souvent avec le recours aux prêts bancaires devant permettre aux parents marocains de subvenir aux besoins de leurs enfants. Et, les banques se livrent une concurrence très forte.