
Fincantieri en négociations avec le Maroc, Naval Group se sent menacé
L’Italien Fincantieri discute avec le Maroc qui souhaite acquérir deux frégates multi-missions. Ces discussions sont vues comme une menace par l’industriel français Naval Group.
Le Maroc s’active pour l’acquisition de deux frégates italiennes de type Fremm avec des capacités exceptionnelles de lutte anti-sous-marine. De quoi renforcer son armement.
Les frégates italiennes de type Fremm intéressent le Maroc. Le royaume veut en acquérir deux dotés de capacités exceptionnelles de lutte anti-sous-marine. Dans ce sens, il a engagé des discussions avec Fincantieri, rapporte le site d’information italien spécialisé, StartMag.
Le Maroc aurait décidé d’acheter la frégate Fremm baptisée du nom de Carlo Bergamini, un amiral italien de la Regia Marina qui servit durant les deux guerres mondiales, fait savoir Far-Maroc, site marocain spécialisé dans les questions de Défense. Cette frégate est utilisée dans la lutte anti-sous-marine.
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Cette acquisition future s’inscrit dans le programme « OMEGA » mis en place par le Maroc. Un projet destiné à moderniser et équiper la Marine royale de nouveaux bâtiments de guerre, y compris ceux spécialisés dans la lutte anti-sous-marine, pour défendre ses deux façades maritimes en Méditerranée en Atlantique.
La Marine royale marocaine possède un Fremm multi-missions français livré en 2014. Il s’agit de la frégate Mohammed VI, toujours en service.
Aller plus loin
L’Italien Fincantieri discute avec le Maroc qui souhaite acquérir deux frégates multi-missions. Ces discussions sont vues comme une menace par l’industriel français Naval Group.
Dédié à la communauté marocaine en Italie ainsi qu’aux citoyens italiens, le nouveau siège du consulat général à Rome vient d’être inauguré par le Maroc.
En arrêt technique depuis septembre 2020 sur le site Naval Group Lorient, la Fremm Mohammed VI de la Marine royale a pris la mer, mercredi 13 janvier 2021.
Le Maroc semble se désintéresser pour les frégates FREMM multi-missions produites par la compagnie maritime italienne Fincantieri qu’il voulait acheter depuis 2021.
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