Expulsée par sa belle-famille avec sa fille de 5 ans (vidéo)
Une jeune femme résidant à Marrakech s’est retrouvée du jour au lendemain dans la rue, en compagnie de sa petite fille de 5 ans, après avoir été renvoyée du domicile conjugal...
Le tribunal de première instance d’Imintanout a condamné une femme pour violences conjugales sur son époux. Elle avait expulsé son compagnon du domicile conjugal.
Au Maroc, les hommes subissent aussi des violences conjugales. Un homme avait déposé plainte contre son épouse auprès du parquet compétent, pour violences conjugales en août 2020. Dans sa plainte, il a accusé sa femme de l’avoir violenté puis chassé du domicile conjugal. Une enquête a été ouverte contre l’accusée, laquelle a confirmé les accusations. La mise en cause a été poursuivie en état de liberté. La semaine dernière, le tribunal de première instance d’Imintanout l’a condamnée à une amende de 1 000 dirhams, rapporte Al Ahdath Al Maghribia.
Des faits similaires se sont produits à Marrakech, en mars dernier. Une femme a écopé d’une peine de deux mois de prison avec sursis, assortie d’une amende de 500 dirhams pour avoir refusé le retour de son mari à la maison. Elle l’avait chassé du domicile conjugal. Le tribunal l’a également condamnée à verser à son époux une somme de 2 000 dirhams en guise de dédommagement.
Selon l’Association de défense des maris victimes de violences conjugales, le nombre de cas d’hommes battus par leurs femmes va crescendo d’une année à l’autre. Un rapport d’étude du Haut-commissariat au plan (HCP) publié en avril dernier indique d’ailleurs qu’environ 70 % des hommes ont subi au moins un acte de violence dans leur vie notamment dans leur milieu familial, professionnel et scolaire.
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Le tribunal de première instance de Marrakech a condamné à deux mois de prison avec sursis et une amende de 500 dirhams, une femme qui a expulsé son mari du domicile conjugal.
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