Le rapport de cette étude met en avant 15 milliards de dollars potentiels à travers des capacités existantes dormantes, des opportunités offertes par les dynamiques sectorielles ou encore la forte demande mondiale. Il s’agit de 2,85 milliards de dollars potentiels à l’export pour la chimie et parachimie ; 2,64 milliards de dollars pour le textile ; 2,14 milliards de dollars pour l’automobile ; 1,8 milliard de dollars pour les produits de la mer, ou encore 1,7 milliard de dollars pour l’agriculture, détaille-t-on.
Avec une estimation de 147 milliards de dirhams grâce à une panoplie de secteurs porteurs comme la chimie et parachimie, l’aéronautique, l’automobile ou encore la finance, Casablanca-Settat se hisse à la première place dans le top 3 des régions à fort potentiel d’export suivie par Tanger-Tétouan-Al Hoceima dont le potentiel est estimé à 72,4 milliards de dirhams et Rabat-Salé-Kénitra (61 milliards).
La finalité de cette étude, c’est l’élaboration d’un contrat-cadre avec la tutelle. Il sera ainsi mis en place une stratégie de développement des exportations marocaines. D’ores et déjà, plusieurs axes clés, dont la diversification des marchés et secteurs, la création d’une forte valeur ajoutée à l’export ou encore l’impulsion d’une dynamique régionale et d’un ancrage territorial, ont été identifiés.