Ce rapport prévoit des ressources contingentes importantes de gaz nettes pour la firme britannique, de 295 milliards de pieds cubes standard de gaz, ainsi qu’une valeur actuelle nette attendue non risquée de 592 millions de dollars, a annoncé Predator Oil & Gas Holdings. De quoi lui offrir une option supplémentaire pour la monétisation des actionnaires. Selon la société britannique côtée en bourse, à Londres avec des opérations à Trinidad, au Maroc et en Irlande, un renversement dans une entité voulant s’exposer à l’opportunité de Guercif ne doit pas être écarté comme une option future.
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« La direction et le plus grand actionnaire seraient très favorables à une telle décision si la proposition de valeur était suffisamment attrayante pour les actionnaires et garantissait une exploitation accélérée du plein potentiel de la zone de licence Guercif », a déclaré Paul Griffiths, PDG de Predator Oil & Gas.
La société britannique exploite le bassin de Guercif dans le cadre d’une coentreprise (75 %) avec l’Office national des hydrocarbures et des mines (ONHYM) agissant au nom de l’État marocain (25 %).