
Saisie par une jeune maman qui cherche à obtenir une indemnisation pour son fils issu d’un viol, la cour de cassation marocaine a rendu une décision qui va faire date.
Au Maroc, plus de 60.000 fillettes ne partent pas à l’école le matin, ne grandissent pas au sein de leur famille et travaillent plus de 14 heures par jour pour une misère.
C’est en tout cas ce qui ressort des déclarations faites lors d’une conférence de presse organisée cette semaine par le Collectif pour l’éradication du travail des "petites bonnes".
L’étude menée par ce collectif laisse également voir que bon nombre de ces jeunes esclaves sont régulièrement victimes de maltraitance et d’abus sexuel.
Le Collectif qui compte aujourd’hui 26 associations, se trace comme objectif la promotion des droits de l’Enfant et l’éradication du travail domestique des filles âgées de moins de 15 ans.
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