
Rabat : un policier tué par un gosse de riche
Un jeune policier est mort en intervention à Rabat, tué par un « Ould Lefchouch » (gosse de riche) qui tentait de prendre la fuite.
La plainte d’une femme qui affirme avoir été victime de harcèlement a conduit à la suspension provisoire d’un policier, membre d’une unité de sécurité publique à Casablanca.
Abdellatif Hammouchi, directeur général de la sûreté nationale, a suspendu provisoirement un brigadier de police soupçonné d’être impliqué dans une affaire de harcèlement d’une femme sur la Corniche d’Aïn Diab. Cette sanction a été prise après que l’agent a été soumis à une enquête qui s’est déroulée sous la supervision de la même autorité judiciaire, puis présenté à la justice mercredi 23 janvier, indique la direction générale de la sûreté nationale (DGSN).
À lire :Un policier marocain verbalise son fils et suscite l’admiration sur Facebook
Les services de police de Casablanca avaient ouvert une enquête après une plainte déposée par une femme. Cette dernière a accusé l’agent de harcèlement alors qu’il était en service sur la corniche d’Aïn Diab. Parallèlement à l’enquête judiciaire, la décision de suspension temporaire de l’agent a été prise.
À lire :Sebta : un policier condamné pour avoir volé la marchandise d’un Marocain
Le fonctionnaire de police sera présenté lors d’une prochaine session au Conseil de discipline de la police nationale, où une décision finale concernant son statut professionnel sera prise.
Aller plus loin
Un jeune policier est mort en intervention à Rabat, tué par un « Ould Lefchouch » (gosse de riche) qui tentait de prendre la fuite.
La Direction régionale de la police judiciaire de Fès a ouvert une enquête mardi 3 décembre à l’encontre d’un agent de police soupçonné de fraude, d’escroquerie et d’extorsion.
Amar, un vendeur de cigarettes à la sauvette, a été tué samedi 29 juin dans le garage d’un pavillon qu’il squattait à Bobigny (Seine-Saint-Denis). Ses proches dénoncent un crime...
Sur Facebook, un officier de police s’est attiré la sympathie des internautes marocains après avoir verbalisé son propre fils à Essaouira.
Ces articles devraient vous intéresser :