Au Maroc, plusieurs députés et élus locaux sont poursuivis devant la justice pour les infractions présumées de corruption et d’abus de pouvoir.
Tout Marocain qui visiterait Israël pourrait écoper d’une peine allant de deux à cinq ans de prison, assortie d’une amende allant de 10.000 à 100.000 euros, prévoit le projet de loi criminalisant la normalisation des rapports avec Israël.
Le projet de loi qui suscite une forte polémique au Parlement, divise l’élite politique et les organisations marocaines de défense des droits humains. Les uns estiment que ce "projet de loi anti-constitutionnel est influencé par des tendances nazies".
D’autres soutiennent que ce texte est une violation claire des pactes et traités internationaux des droits de l’Homme, dénonçant un projet de loi "stérile", qui porterait atteinte à l’image d’un Maroc aux identités plurielles".
Le texte proposé à l’origine par l’Observatoire marocain contre la normalisation avec Israël, est soutenu par cinq formations politiques, dont le Parti Justice et Développement (PJD), actuellement au pouvoir.
Le projet de loi condamne toutes les formes de normalisation avec l’Etat hébreux, qu’elles soient économique, politique, artistique, ou culturelle.
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