En raison des cas de noyade enregistrés ces dernières années dans la région de Casablanca-Settat, les autorités locales ont pris des mesures strictes pour mettre fin à la baignade dangereuse près de la Mosquée Hassan II pendant l’été.
Des barrières métalliques ont été installées le long de la plage adjacente à la mosquée située à Casablanca, la zone étant dangereuse pour la baignade en raison des courants marins forts et des rochers présents au fond de la mer. En plus l’installation de ces barrières métalliques, les autorités attachent du prix à la sensibilisation des gens aux dangers de la baignade dans cette zone et au respect des instructions de sécurité.
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Dans son rapport annuel du programme national de surveillance de la qualité des eaux de baignade et du sable des plages, le ministère de la Transition énergétique et du développement durable a précisé que 7 plages dans la région de Casablanca-Settat ne respectent pas les normes environnementales requises cette année.
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De son côté, Nabila Rmili, présidente du conseil communal, a mis en garde les intermédiaires contre toute exploitation illégale des plages de Casablanca, et a assuré que les autorités prendraient des mesures strictes pour lutter contre toute pratique illégale. Aussi, a-t-elle réaffirmé l’engagement du conseil à protéger les installations publiques et à garantir que les citoyens en bénéficient de manière équitable et organisée. 80 % de la superficie sablonneuse des plages de Casablanca est réservée à la baignade libre, sans frais, a par ailleurs précisé l’élue, tout en invitant les vacanciers à contacter les autorités s’ils sont sollicités pour des frais ou contraints d’utiliser des équipements de location.
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