
Les renseignements français surveillent les imams marocains
Une brigade spéciale créée au sein des services de renseignement français mène une enquête sur la vie de 200 imams, encadrants religieux et enseignants marocains envoyés en...
Les imams au Maroc verront leur allocation augmenter de façon progressive pendant les quatre prochaines années. Le roi Mohammed VI en a donné l’instruction, selon le ministère des Habous et des Affaires islamiques
Les imams ne sont pas les seuls concernés par cette décision royale. Mohammed VI a également ordonné que les muezzins reçoivent la même augmentation et selon les mêmes modalités, précise le ministère dans un communiqué.
À lire : Maroc : des primes pour les imams
L’année dernière les imams avaient organisé plusieurs manifestations et sit-in, notamment à Rabat, Les doléances étaient nombreuses, notamment « une vie convenable, la protection du patrimoine culturel du « système de la charte » sans l’intervention des associations, l’octroi des logements-emplois, le droit de prendre part à la solidarité publique, l’indemnisation de la perte d’emploi, des dédommagements comme droit de charge de leurs enfants, le droit aux fêtes religieuses et nationales, la non-organisation d’entretiens et d’examens pour ceux ayant une attestation de témoignage (certificat de qualification), l’inscription à la sécurité sociale, ainsi que la réinsertion des personnes renvoyées par le ministère ».
Aller plus loin
Une brigade spéciale créée au sein des services de renseignement français mène une enquête sur la vie de 200 imams, encadrants religieux et enseignants marocains envoyés en...
Les imams marocains sont désormais interdits de vie politique et syndicale. La mesure a même fait même l’objet d’un Dahir royal (décret), dont l’objectif est de dissocier...
Le projet de décret concernant une révision du salaire minimum interprofessionnel garanti (SMIG) et du salaire minimum agricole garantie (SMAG) a été validé par le conseil de...
Au Maroc, les salariés du privé gagnent moins que ceux de la fonction publique. C’est ce que révèle une étude réalisée par le journal l’Economiste.
Ces articles devraient vous intéresser :