Femmes ingénieures : le Maroc en avance sur la France
Au Maroc, la plupart des jeunes filles optent pour des études scientifiques. Contrairement à la France, elles sont nombreuses à intégrer les écoles d’ingénieurs.
Une convention cadre a été signée, mardi à Rabat, pour renforcer la formation d’ingénieurs, de cadres moyens et de techniciens supérieurs dans différents secteurs industriels.
Lors de la signature de cette convention, les ministres sectoriels du gouvernement, à leurs côtés, le patronat et les industriels aéronautiques et automobiles, se sont engagés à former un capital humain de haute qualité, répondant davantage aux besoins actuels et futurs des différents secteurs de l’économie nationale.
Fruit d’un partenariat public-privé, cet accord a pour objectif d’intégrer progressivement des modules de formation sur les soft skills, la production durable/décarbonée et l’industrie 4.0, mais aussi l’implication des industriels dans l’amélioration de l’offre de formation des universités, notamment, pour les secteurs automobile et aéronautique.
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À cet effet, le ministère de l’Enseignement supérieur s’est engagé à mobiliser les universités pour former des ingénieurs, des cadres moyens et des techniciens supérieurs selon les besoins spécifiques exprimés par les industriels via la CGEM, l’AMICA et le GIMAS. L’objectif étant de combler le gap quantitatif et qualitatif en formation des ingénieurs, cadres moyens et TS, à l’horizon 2025.
Aller plus loin
Au Maroc, la plupart des jeunes filles optent pour des études scientifiques. Contrairement à la France, elles sont nombreuses à intégrer les écoles d’ingénieurs.
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